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Fabienne a 30 ans et tout pour être heureuse. Indépendante de fortune, elle est peintre et sa carrière est prometteuse. Sa maison, construite sur un grand terrain boisé, au pied de la montagne, est flanquée d’un atelier, son "phare". Mais à quoi bon tout cela, désormais? La dépression a fauché la jeune femme. Du gros chat orange errant qu’elle nourrit, elle dit : "Celui-là était comme moi : perdu." Fabienne est peut-être perdue, mais elle n’est pas seule.

Qui n’aimerait pas que son enfant soit avide d’apprendre et persévérant; qu’il soit capable d’introspection, de contemplation, de concentration; qu’il se montre chaque jour reconnaissant, ne tenant rien pour acquis? Pourtant, notre époque ne cesse de l’éloigner de ces aspirations, de le détourner de la nature, du jeu libre, du silence…

Le père de Maélie a refait surface dans sa vie. Mais est-ce vraiment une bonne chose? Comment savoir s'il est sincère ou s'il ne cache pas des intentions malsaines? Cet homme mystérieux repousse autant qu'il attire, et Maélie ne sait pas quelle attitude adopter face à lui. Le laisser entrer dans sa vie ou le rejeter pour toujours?

Il est presque devenu banal d'affirmer que l'Église catholique est en crise au Québec et en Occident. Lorsqu'on considère les abus sexuels sur mineurs, la baisse de la pratique, l'effondre­ment des vocations, la disparition des ordres religieux ou la place ambiguë des femmes, il peut sembler difficile d'espérer des jours meilleurs pour le corps du Christ. Serait-ce la fin de cette institution bimillénaire ? Et pourtant, des voix d'ici s'élèvent pour témoigner de leur espérance malgré les difficultés vécues par notre Église.

Avoir de gros yeux apporte beaucoup de joie à meuvette. La belle vache du fermier. Monsieur Pissenlit. Hélas, un jour, ses yeux rapetissent. La bête est peinée. Elle se met à chercher une solution. Persévérante, elle saura trouver, parole de jeune auteur.

Certains enfants ont toujours chaud, d'autres, toujours froid. Josiane, la Frileuse et Hugues, le Bouillant, se taquinent. La maman décide de faire de la récupération. Elle utilise le vieux manteau de sa mère fait de lapin. Elle coud une doublure au manteau de la fille. Des lapins? Se pourrait-il que Josiane fasse leur connaissance? Cela serait peut-être amusant.